Mon avis sur Underwater (2019)
Hey salut à toi, fidèle lecteur ! Cela faisait décidément beaucoup trop longtemps que je n’avais pas écrit ici, en même temps, Arnaud a su t’abreuver lui aussi de lecture, j’en suis certain ! Aujourd’hui je vais m’intéresser à Underwater, film de William Eubank, à qui l’on doit le mésestimé The Signal (que j’ai personnellement bien apprécié), aller hop, c’est parti !
Underwater n’a pas le temps de niaiser !
Dès le début du film, on est littéralement projeté dans la violence de la scène d’ouverture, et tout s’enchaine rapidement, à savoir : le film se déroule quasiment en temps réel… C’est simple pendant la première partie d’Underwater, les temps morts sont quasi inexistants ! Bon je te rassure, ça change un petit peu après, oui.
Kristen Stewart, TJ Miller et Vincent Cassel, sont dans une station sous-marine…
Que pourrait-il donc se passer pour que ça tourne mal ? Disons, à peu près tout et n’importe quoi ! Comme dit plus haut, le début va assez vite, et c’est seulement à partir du deuxième quart du film que l’on glane diverses informations, aussi bien sur les différents protagonistes que sur la situation qu’ils vivent.
Au niveau de la distribution, rien à redire, si ce n’est « nobody is safe ». Peu importe qui tu es, si William décide que tu meurs, bah, *Pan* tu meurs.
Sous l’eau personne ne vous entendra crier, mais ça, c’était avant !
Underwater, est un film très efficace dans son genre, et propose un déroulement, pas tout à fait comme les autres, et même si certains passages restent prévisibles, très bien maitrisé dans la mise en scène, et le jeu d’acteur est au top.
Les bestioles sont omniprésentes, et leur design les rend encore plus dangereuses… Le rôle de Norah Price (Kristen Stewart) aura tôt fait de te faire penser à une certaine Hélène Ripley (la très géniale Sigourney Weaver, la maman que tout gamin des 80’s rêve d’avoir), on a aussi le petit rigolo, le capitaine torturé, mais sage, et ainsi de suite.
J’ai presque envie de dire « la galerie de personnages classique », mais ce serait mentir, au mien partiellement !
Underwater résonne un peu comme une rencontre d’Aliens avec Abyss, et pourrait très bien se passer dans l’univers de Godzilla 2014/King Kong 2017, ce qui ne m’étonnerait pas le moins du monde.
Underwater, côté technique !
Une chose que j’ai vraiment appréciée dans Underwater, c’est l’utilisation de véritables décors, au moins au tout début du film, car la mode est au fond vert un peu partout et l’on perd un peu ce côté réaliste du cinéma, pour le remplacer par de la 3D à tout va, attention je ne dis pas que c’est mal, mais qu’il faut en utiliser à bon escient ! (remember la menace fantôme, hein).
La technique est bien maitrisée, le son impeccable, les effets spéciaux sont au top, j’ai hâte de mettre la main sur le bluray dès que possible, pour faire vibrer les haut-parleurs et les murs de la maison !
Un film à l’atmosphère oppressante, à la limite de l’asphyxie, a 10km sous la surface, un survival comme on aimerait en voir plus souvent.
Oui, j’ai vraiment apprécié ce film, vite Disney, un Blu-Ray pour moi s’il vous plait <3
C’était Sandy, je vous dis à bientôt pour un nouvel avis !