Invisible Man de Leigh Wannell
Hey salutation à toi mon ami, j’espère que tu vas bien ! Aujourd’hui je continue a rattraper mon retard sur le blog et j’ai décidé de te parler d’Invisible Man version 2020 ! Oui parce que, chose notable, nous sommes aux antipodes des hommes invisibles habituels… aller, avance n’ai crainte je suis juste derrière toi !
L’art de l’invisibilité…
Je ne vais pas tourner autour du pot. Ce film maintient une tension, littéralement palpable à chaque scène qui se déroule devant nous peut-être même plus qu’Underwater dont je te parlais ici, sans vouloir trop en dire, nous ne sommes jamais seuls… Flippant, vous avez dit flippant ? Je sais que j’utilise souvent la formule « tension palpable », mais Invisible man est l’exemple parfait pour imager cette formule.
D’un côté nous avons la mise en scène ainsi que les jeux de caméra qui suggère énormément de choses avec par exemple des mouvements sur des scènes pourtant fixes et de l’autre le jeu d’Elisabeth Moss qui nous fait halluciner par la puissance de sa détresse et la démonstration son impuissance face a ce qui lui arrive…
Touché, c’est toi le chat !
Invisible Man, joue avec nos nerfs et même les codes ! Je n’ai personnellement pas vu venir certaines scènes, et j’ai envie de dire que le ratio scène surprise/scène téléphonée est extrêmement bon, mon impression est que Leigh Wannell joue énormément sur les codes et les attentes du spectateur, et ce, à chaque scène…
Côté technique & Casting
Il n’y a pas à redire sur le casting d’Invisible Man, Elisabeth Moss qui interprète Cecilia Kass est, je pense, l’actrice parfaite pour ce rôle. Aldis Hodge qui campe James Lanier impose un physique et une présence à l’écran rassurante, mention spéciale à Oliver Jackson-Cohen que l’on ne verra au final que très peu à l’écran…
Visiblement, c’est une conclusion qui nous attends…
Autant le dire tout de suite, j’ai énormément apprécié Invisible Man dans sa version 2020, je me suis même aventuré à penser qu’il aurait été parfait pour le Dark Universe et aurait donc rejoint Tom Cruise qui doit se sentir bien seul avec sa momie. Pour résumer : mise en scène impressionnante, jeux d’actrice HALLUCINANT, atmosphère anxiogène = un Sandy content !
Bref, fonce voir ce film, et n’oublie pas : il est là!